La paroisse de Ramasse était, comme on peut le constater par la sentence du parlement de Dijon de 1648, une annexe de la communauté de Jasseron (AA1). Dans le territoire de la commune il y a plusieurs grottes (Grotte de la Tessonnière, gouffre de la Combe aux malades, etc.) dont certaines ont fait l’objet de fouilles archéologiques. L’église du village date du XIXème siècle et elle a été bâtie à l’emplacement de l’ancienne chapelle, édifiée en 1540. Outre l’église du village, on trouve également un édifice religieux sur les hauteurs du territoire communal, il s’agit de Notre-Dame des Conches ainsi que du site classé des vestiges de l’église de Saint-Julien-sur-Roche, exhumées en 1938 par l’abbé Gringoz, historien et curé de Ramasse. Cette église, fort ancienne, existait déjà au XIIIème siècle et fut probablement incendiée par les troupes de l’amiral Chabot lors de la guerre contre la Savoie menée par François I en 1536.
Mentionnée dès le Xème siècle, Curciat-Dongalon devient l’une des communes du canton de Saint-Trivier-de-Courtes en 1790. Au fil des années, la commune devient une petite bourgade avec un notaire, un médecin et de nombreux artisans et commerçants. Vers 1920, la commune compte six épiciers, une quinzaine d’artisans dont certains spécialistes du meuble bressan, plusieurs moulins en fonction ainsi qu’une fabrique de tuiles. Actuellement, c’est une commune principalement agricole.
L’association foncière est en déclin à la fin des années 1980 : les opérations comptables se raréfient, voire deviennent quasi inexistantes. Ce fait entraîne sa dissolution en 1988.
Le Syndicat intercommunal d’études des problèmes d’eau de la région d’Ambérieu en Bugey a été créé par arrêté préfectoral du 12 mars 1968 et dissout par arrêté préfectoral du 16 mai 1975.
A sa dissolution en 1975 l’a succédé le Syndicat intercommunal des eaux de la région d’Ambérieu-en-Bugey.
A l’origine de la commune, l’édification d’un prieuré bénédictin. Le seigneur Guichard d’Anthon remet par testament, vers 1130, la garde et l’avouerie à l’abbaye de Saint-Martin d’Ainay. Le nom primitif de la commune est Saint-Maurice d’Anthon. Les fondations de l’église romane, toujours élévation au centre-village, sont datées du XIIe siècle. Le début de la construction est estimé en 1111. En 1790, la commune est renommée Gourdans-la-Rivière jusqu'à la fin de la période Révolutionnaire. La commune appartient au canton de Meximieux depuis 1801.