Demarais (curé de Tossiat ; cité en 1741)
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- Personne
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Demarais (curé de Tossiat ; cité en 1741)
Demons dit Curtil, Jean (cabaretier ; cité en 1844)
Déromaz, Alphonse (cité en 1877)
Derriat, Pierre (curé d'Attignat ; cité en 1899 et 1903)
Derriaz, Marie (citée en 1908-1909)
Des Monstiers de Mérinville, René (1742-1829 ; évêque)
René des Monstiers de Mérinville est né le 1er juillet 17421, au château d'Auby (Limoges), en Limousin.
Il entre dans les ordres et devient prieur d'Auby.
Parallèlement à sa charge épiscopale, il occupe la charge de conseiller d'honneur au parlement de Bourgogne, à Dijon, puis est élu député du clergé aux États généraux, pour le bailliage de Dijon, du 7 avril 1789 au 30 octobre 1791. Il signe, le 9 avril 1790, avec vingt-neuf autres députés issus du clergé le texte Exposition des principes sur la Constitution civile du clergé. Il refuse, le 27 novembre suivant de prêter serment à la Constitution civile du clergé. Il émigre et ne revient qu'en 1800. Durant cette période, il conserve son titre épiscopal mais, étant émigré et réfractaire, l'administration du diocèse de Dijon revient à un évêque constitutionnel, Jean-Baptiste Volfius.
René des Monstiers de Mérinville s'éteint le 11 juillet 18291, à Versailles.
Descombes, Benoît (sergent voltigeur au 30e régiment de ligne ; cité en 1810)
Desprez, Joseph (cabaretier ; cité en 1846 et 1857)
District de la Plaine de Bresse (Saint-Trivier-de-Courtes, Ain)
En 1995, le district adhère au Syndicat mixte de Bresse-Revermont-Val de Saône.
District de la Plaine de l’Ain (Chazey-sur-Ain, Ain)
Au milieu des années 1960, le site de Saint-Vulbas (Ain, France) est choisi pour l’implantation de la centrale nucléaire du Bugey. La construction de la centrale puis la mise en route de la première tranche en 1972 donne une nouvelle dynamique au territoire et nécessite la création de logements et le développement des services.
En parallèle de la construction de la centrale nucléaire, les élus locaux souhaitent assurer le développement économique de la région. Le projet du parc industriel de la Plaine de l’Ain voit le jour et permet d’accueillir entreprises et industries pour lutter contre l’exode rural et créer des emplois locaux.
C’est dans ce contexte que les élus se regroupent au sein du district de la Plaine de l’Ain en 1973.
District Porte Ouest de la Dombes (Jassans-Riottier, Ain)
Le district est créé en 1995. Il est transformé en communauté de communes en 1999.
District rural de Montrevel-en-Bresse (Montrevel-en-Bresse, Ain)
Le district rural de Montrevel-en-Bresse est créé en 1965. Il est transformé en communauté de communes le 1er janvier 2002.
District rural du Valromey (Champagne-en-Valromey, Ain)
Le 26 décembre 1991, la commune d’Artemare adhère au district.
District Valsemine (Champfromier, Ain)
En 1992, il est demandé aux communes de présenter leurs projets d’intercommunalité. Au cours de diverses réunions entre 1992 et 1993, les communes de la Valserine ont manifesté leur volonté de créer une coopération regroupant des communes de ce secteur. Dans son premier rapport, la commission d’intercommunalité n’a pas retenu les propositions des conseils municipaux pour une intercommunalité de la vallée. Dès lors, les communes de Champfromier, Giron, Montanges et Saint-Germain-de-Joux ont exprimé leur volonté de s’unir dans une structure intercommunale de communes de taille comparable pour une meilleure compréhension et prise en compte de leurs problèmes.
Le toponyme vient du latin « Domno Martin », où « Domno », littéralement seigneur, maître désigne le saint qui est dans ce cas le saint Martin. Ce type de toponyme, qui fait d'un saint le maître et le protecteur d'un lieu et de ses habitants, est particulièrement fréquent au Haut Moyen âge.
La première mention que l'on a de la commune date de 1106 et se trouve dans le recueil des chartes de Cluny où la commune est nommée « Domno Martino ». En 1272, « Domnus Martinus de Larona » se trouve dans les titres de Laumusse tandis qu'est mentionné « Donno-Martino » en 1279. Les titres de Laumusse évoquent une nouvelle fois le village en 1284 sous le nom de « Domnus Martinus de Larrenaco ». Vers 1365, on trouve un nom assez différent des autres puisque « Sanctus Martinus Larenna » est cité dans des sources. Toutefois, en 1401, on retrouve un nom proche des précédents puisque les archives de la Côte-d'Or mentionnent « Dompnum Martinum ». Un siècle et demi plus tard, en 1548, les pancartes des droits de cire évoquent « Dompnus Martinus de Larena » mais on retrouve « Sanctus Martinus de Larenay » en 1587 dans le pouillé de Lyon. En 1650, le nom du village est Dommartin de Larrenay et le pouillé de Lyon mentionne Dommartin-de-Larnay en 1789. Au début du XXe siècle, la commune était nommée à la fois Dommartin et Dommartin-de-Larenay.
Sur la commune se trouvait l'ancienne seigneurie de Coberthoud, dans la mouvance des sires de Bâgé. Elle est nommée successivement en Corbertoud en 1272, Corbertout en 1283, Corbertoud en 1401 et Cobertout en 1439. Dans un texte, on apprend que dans la cour de cette maison forte se trouvait une mare près du Champ des veaux.
La paroisse a appartenu au chapitre de Mâcon, lequel s’associa un sire de Bâgé en 1205. En 1601, après la fin de la guerre franco-savoyarde qui se termine par le Traité de Lyon, le village appartient à la France avec l'acquisition de celle-ci de la Bresse, du Bugey, du Valromey et du pays de Gex. Elle est par la suite intégrée à la province bourguignonne. Entre 1790 et 1795, Dommartin était une municipalité du canton de Bâgé-le-Châtel, et dépendait du district de Pont-de-Vaux.
Le 1er janvier 2018, elle fusionne avec la commune de Bâgé-le-Châtel pour former la commune nouvelle de Bâgé-Dommartin dont elle restera une commune déléguée.
Dompierre-sur-Chalaronne (Ain, France)
Donaz de la Bastié (cité au 18e siècle)
Donguy, Jean-François (cité en 1891)
Donguy, Joseph (cité en 1849-1859)
Donguy, Nicolas (cité en 1883-1884)
Doucet, Maurice (cité en 1879)
Douvre, Jean-Baptiste (agent de l'asile d'aliénés de Cery-Lausanne ; cité en 1888-1889)
Dresaint, Louis (cité en l'an II (1794))
Druguet, Jean (cité en 1847 et 1849)
Sous l’Ancien Régime, Druillat dépendait du bailliage, de l’élection et de la subdélégation de Bourg, du mandement et de la justice d’appel de Varambon, ainsi que des terres des seigneurs de Coligny puis du marquisat de Varambon.
Au début du XIIIe siècle, les Templiers fondent à Druillat la Maison du Temple de Molissole, qui se développe alors financièrement et territorialement par le biais des relations avec les seigneurs locaux. La plupart des terres de Druillat et de ses hameaux dépendent alors de la Commanderie. A sa suppression, la Maison devient possession des Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem.
Dubois, Eugène (1871-1952 ; instituteur)
Jean François Eugène Dubois, né le 9 août 1871 à Vandeins et mort le 19 septembre 1952 à Confrançon (Ain, France). Premier habitant de Vandeins à obtenir le certificat d'études, il devient par la suite instituteur. Il est d'abord instituteur-adjoint à Pont-de-Veyle puis instituteur à Oyonnax. Il est l'auteur de nombreuses études sur le département de l'Ain
Duchêne, sieur (prêtre de Saint-Bénigne ; cité en 1802)
Ducloz, François (écuyer et seigneur de Chanay ; cité en 1672)
Ducros, Bernard (1880-19.. ; secrétaire de mairie)
Ducruix, Marie Benoite (citée en 1822)
Dumoulin, Pierre (cité en les ans IX-X (1801-1802))
Duperier, Jean (cité en 15[90])
Dupérier, Marie (épouse Berger ; 1…-1853)
Duperrier, Benoit (cité en 1830-1831, 1833 et 1892)
Duperrier, Jacques (cité en 1865-1866)
Dupont Vachaux, Claude (laboureur ; cité en 1792)
Dupont, Jean-Baptiste (cité en 1875-1878)