Berger, Julien (cultivateur ; cité en 1898)
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- Personne
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Berger, Julien (cultivateur ; cité en 1898)
Berger, Joseph (vigneron et luminier ; cité en 1786)
Berger, Jean-Claude (cité en 1846)
Berger, Jacques (luminier ; cité en 1786)
Berger, Georges (cité en 1860)
Berger, Claude (cité en 1855 et 1860)
Berger, Camille (cultivateur ; cité en 1901)
Berger, Antoine (syndic de Tossiat ; cité en 1623)
Béréziat, sieur (fermier au Bayardon ; cité en 1820-1911)
L'ouvrage Noms de lieux de l'Ain propose la racine gauloise « barro » (sommet, plateau allongé). Ce toponyme, comme la majorité des toponymes en « -ac », dérive de l'anthroponyme d'un propriétaire de domaine gallo-romain ; un certain « Bericius » d'origine gauloise.
Jusque-là orthographiée « Béreyziat » ou « Béréziat », la commune prend son nom actuel de « Béréziat » en juin 2010.
Bérard, Alexandre (1859-1923 ; écrivain et homme politique)
Écrivain et journaliste. Docteur en droit (1882) et avocat. Homme politique appartenant au Parti républicain, radical et radical-socialiste.
Benoit, Pierre (cultivateur ; cité en 1846 et 1848)
Belmont-Luthézieu (Ain, France)
La commune de Belmont-Luthézieu est issue de la fusion des communes de Belmont et de Luthézieu par décret du 17 octobre 1974 et arrêté préfectoral du 30 décembre 1974 (fusion-association). Depuis le 3 novembre 1997, les deux communes sont en fusion simple.
Sous l’Ancien régime, la seigneurie de Belmont, l’une des plus ancienne du Bugey, était possédée par la maison du même nom du XIIème siècle jusqu’à la fin du XVIIème siècle et son passage aux maisons d’Arcollière et Cyvoct de Thézillieu. Les seigneuries de Belmont et de Luthézieu faisaient partie du marquisat du Valromey. Les villages de Belmont et de Luthézieu, sous l’Ancien Régime, faisaient partie du bailliage, élection et subdélégation de Belley.
La commune de Belmont fusionne avec celle de Luthézieu par décret du 17 octobre 1974 et arrêté préfectoral du 30 décembre 1974 (fusion-association) pour créer la commune de Belmont-Luthézieu. Depuis le 3 novembre 1997, les deux communes sont en fusion simple.
Bellay, Marie-Rose (veuve Fleury ; citée en 1901-1902)
Le village relevait du bailliage et de l’élection de Bourg, de la subdélégation de Trévoux et du mandement de Montluel. Le territoire dépendait de la seigneurie de Montluel avant d’être cédée à la maison de Savoie par le royaume de France en 1355. Jusqu’au XVIIIe siècle, la seigneurie était possédée par la famille de Murard, seigneurs de Montferrand, avant d’être vendue en 1710 par François de Murard, conseiller au Parlement de Paris, à Pierre de Montherot, dont la maison-forte se trouve à Balan.
Bel, Barthélémy (fermier de Laumusse ; cité en 1592)
Beccuat, Jean (syndic de Tossiat ; cité en 1658)
Beaudet, Jean-Marie (cité en 1873)
Beaudet, Jean-Baptiste (cité en 1884)
Bayle (maître boucher ; cité en 1845)
Baux, Jules (1806-1890 ; archiviste de l'Ain)
Il est né en 1806 à Lyon (Rhône, France)
Baudrand, Marie-Albine de (veuve Greppo ; citée en 1856-1866)
Bascol, Claudius (charcutier ; cité en 1908)
Barret, Anne (journalière ; citée en 1846)
Barrat, Joseph (propriétaire cultivateur ; cité en 1861)
Barrachin, Jean-Claude (garde champêtre ; cité en 1862)
Barrachin, Georges (cité en 1832-1833)
Barrachin, Clément (cité en 1898 et 1901-1905)
Bardet, Pierre (cultvateur ; cité en 1886)
Barbier, Joseph (cité en 1855, 1875, 1878)
Barachin (capitaine électif de la garde de Journans ; cité en 1838)
Ballet, Michel (syndic de Tossiat ; cité en 1623)
Ballet, Marie Pierrette (épouse Nalès ; citée en 1820-1823)
Ballet, Louis (syndic de Tossiat ; cité en 1571)
Ballet, Joseph (journalier ; cité en l'an II (1794))
Ballet, Jacques (syndic de Tossiat ; cité en 1604)
Ballet Jullion, Claude (laboureur ; cité en 1740)
Ballet Dudillon, Claude (cité en 1580)
Baissard, sieur (cité en 1861)
La première mention du village date de 1004 sous les formes latines de « Balbiacus » et [« in villa] balgiaco », « Balgiaco » en 1006 (recueil des chartes de Cluny). En 1245, on trouve dans les titres de Laumusse le nom de « Baugiacus villa » tandis que vers 1250, le pouillé du diocèse de Lyon mentionne « Baugia la Vila ». D'après l'enquête Bouchu, le nom pour se référer au village vers 1667 est « Baugé la Ville ». Le nom actuel de Bâgé la Ville est cité pour la première fois en 1734 dans la description de Bourgogne. Durant la Révolution française, le village a pris temporairement le nom de « Bâgé-de-l'Ain ».
Au Moyen âge, trois paroisses se sont formées sur le territoire des seigneurs de Bâgé : Bâgé-le-Châtel autour de son château, Saint-André où les sires avaient édifié leur église et Bâgé-la-Ville, la paroisse la plus importante par sa population. Sur la commune se dressait une ancienne commanderie de l’ordre de Saint-Lazare de Jérusalem ; la commanderie d'Aigrefeuille, ainsi que la maison forte de Loeze citée à la fin du XIIème siècle. En 1601, après la fin de la guerre franco-savoyarde qui se termine par le Traité de Lyon, Bâgé-la-Ville appartient à la France avec l'acquisition de celle-ci de la Bresse, du Bugey, du Valromey et du pays de Gex. Elle est par la suite intégrée à la province bourguignonne.
Le 1er janvier 2018, la commune fusionne avec Dommartin pour donner la commune nouvelle de Bâgé-Dommartin.