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Congrégation religieuse féminine enseignante de droit pontifical fondée par Anne-Marie Martel en 1667.
En 1665, l'abbé Tronson, sulpicien directeur du séminaire du Puy-en-Velay voyant l'ignorance religieuse de ses paroissiens, demande à Anne-Marie Martel de s'occuper de les instruire. Bientôt des compagnes se joignent à elles et forment une communauté religieuse sans vœux connue sous le nom de demoiselles de l'instruction. Ces dernières forment ensuite des filles appelées béates pour aller seules dans les villages les plus isolés. Mgr de Béthune, évêque du Puy-en-Velay, reconnaît officiellement la communauté le 21 mai 1676. En 1708, les demoiselles et filles de l’Instruction fusionnent avec une petite confrérie de sœurs de l’Enfant-Jésus qui met à leur disposition une grande maison au Puy ; elles prennent alors le nom de demoiselles de l’instruction de l’Enfant-Jésus. À la révolution française, leurs biens sont confisqués avec interdiction de participer à des réunions religieuses sous peine de mort. Après la tourmente, Mademoiselle de Senicrose restaure la congrégation et ouvre une école pour les enfants pauvres du Puy.
Les sœurs ouvrent une maison en Argentine en 1888 puis au Canada en 1896. En 1905, lors de la séparation de l’Église et de l’État, les sœurs n’ont plus le droit d’enseigner ni de tenir des écoles et leurs biens sont confisqués. Elles doivent prendre l’état laïque ou partir à l’étranger, en particulier en Belgique.
La fondation a lieu à Lyon le 2 décembre 1680 par Charles Démia (1637-1689) pour l'éducation des enfants pauvres. Leurs constitutions sont basées sur la règle de saint Augustin mais contiennent de nombreux éléments empruntés aux auteurs spirituels de l'école française de spiritualité.
La congrégation connaît un accroissement rapide mais les sœurs sont dispersées en 1791 lors de la Révolution française, l'institut est réorganisée en 1802 et atteint son apogée en 1878.
La loi du 29 mars 1880 contraint les sœurs à se déplacer à l'étranger (Italie, Suisse) pour poursuivre leur apostolat. La congrégation est reconnue de droit pontifical le 25 juin 1921.
Congrégation catholique de religieuses hospitalières fondée à Angoulême en 1662 par Hélie Guillebauld (161?-1679). Cette communauté a desservi à la fin du XVIIe siècle plusieurs hôpitaux de la ville d'Angoulême.
La communauté s'est réunie en 1969 à deux autres congrégations pour fonder la Congrégation des Sœurs de Sainte-Marthe de Périgueux.
Congrégation religieuse féminine fondée le 15 octobre 1650 par le père Jean-Pierre Médaille en vue de répondre à « toutes les misères corporelles et spirituelles » de leur temps.
Congrégation religieuse féminine fondée le 15 octobre 1650 par le père Jean-Pierre Médaille en vue de répondre à « toutes les misères corporelles et spirituelles » de leur temps.
Congrégation religieuse féminine fondée le 15 octobre 1650 par le père Jean-Pierre Médaille en vue de répondre à « toutes les misères corporelles et spirituelles » de leur temps.
Le 1er janvier 2016, la commune fusionne avec celles d'Hotonnes, du Petit-Abergement et du Grand Abergement pour former la commune nouvelle de Haut Valromey.
Très ancienne paroisse, Sulignat faisait partie de la Bresse sous le vocable de la Nativité de Notre Dame, puis devint savoyarde en 1272.
Sous la Révolution française, entre 1790 et 1795, la commune devient une municipalité du canton de Châtillon-les-Dombes, et dépendait du district de Châtillon-les-Dombes. Durant cette période, Châtillon-sur-Chalaronne absorbe également la commune, L'Abergement et Clémenciat. Tandis que ces deux derniers quittent Châtillon pour former L'Abergement-Clémenciat en 1857, Sulignat redevient une commune indépendante en 1809 (arrêté préfectoral du 15 avril 1809).
Durant la Seconde Guerre mondiale, un camp de maquisards portant le nom de Catane et formé par 75 hommes était installé dans les bois de Marmanant.
Plusieurs figures se détachent de l’histoire de Sulignat : • Claude Jean-Baptiste Garron de la Bévière (1742-1811) : seigneur de Longes, de La Chassagne et de Brosses, chevalier de Saint-Louis, syndic général de la noblesse de Bresse et de Dombes. Il fut l'un des fondateurs de la Société d'Émulation et d'agriculture de l'Ain autorisée le 31 mai 1783. Il en devint le premier président. M. Garron s'occupait de questions agricoles. Ses communications importantes ont été publiées dans le Journal de l'Ain, et sont consignées dans les procès-verbaux de séances. Il fut également député aux États- Généraux en 1789. • Jean-François Jolibois dit l’abbé Jolibois (1794-1875) : curé de Sulignat en 1820 et historien local. Il est l'auteur de plusieurs opuscules historiques et géographiques publiés par diverses sociétés savantes. Une rue de Trévoux porte son nom.
Association de propriétaires des prés riverains des deux rives de la Veyle, (Grièges et Crottet), entre le barrage de l'ancien moulin de Chavannes et celui du Moulin Vieux, elle est constituée par convention du 18 février 1923.
Aux alentours de 1845, les propriétaires des prairies de Crottet et de Replonges décident de s’associer autour d’une idée commune : l’irrigation de leurs prairies. Quelques années plus tard, ceux de Grièges et de Cormoranche les rejoignent. C’est ainsi qu’émerge l’idée d’un syndicat des propriétaires des prairies regroupant ces quatre communes. Le syndicat d’irrigation de la Basse-Veyle a été créé par décret du 2 décembre 1854.
Dès 1919, la dissolution du syndicat est envisagée et elle sera actée par le décret du 29 mai 1922.
En 1930, émerge l’idée de la création d’une structure syndicale pour faire une réflexion autour de la Reyssouze. Deux ans plus tard, en 1932 : la Préfecture de l’Ain créé une commission d’aménagement de la Reyssouze pour examiner le plan d’urbanisme de la ville de Bourg-en-Bresse.
Après 1935, des élus pensent qu’associer les problèmes citadins (quartiers inondés) et ruraux (dégâts agricoles) permettrait de trouver une solution satisfaisante pour tous. Ce processus de concertation est interrompu dans les 1939 à 1945 suite aux conflits mondiaux.
Il ne reprendra qu’en 1952 avec l’organisation de concertations puis d’une réunion d’information par la Préfecture « pour un aménagement rationnel et durable du lit de la Reyssouze entre Montagnat et son confluent avec la Saône ». Est alors proposée la création d’un « syndicat intercommunal groupant l’ensemble des communes riveraines » dont le siège est fixé à la mairie de Montrevel-en-Bresse. Par arrêté préfectoral du 25 avril 1956 est créé le syndicat intercommunal d’aménagement et d’entretien de la Reyssouze (SIAER).
A partir de 1972 et sous la présidence du docteur Louis Jannel, de nouveaux objectifs sont fixés. Pour mieux définir sa mission, le syndicat décide de réaliser à une étude approfondie des causes de dégradation de la rivière qui conduira à l’élaboration du 1er contrat de rivières (1997-2004).
Sous la présidence de Jean-Paul Morel, le syndicat étend ses compétences avec l’entretien et la réfection des installations hydrauliques des moulins et des berges de cours d’eau.
Par arrêté préfectoral du 10 février 1997, le SIAER modifie ses statuts et change de dénomination par le « syndicat intercommunal d’aménagement et d’entretien de la Reyssouze et de ses affluents » (SIAERA).
En octobre 2010, en raison de la volonté de la Communauté de communes de la Vallière d’adhérer au SIAERA, ce dernier envisage se transformer en syndicat mixte fermé et de modifier à nouveau ses statuts. Ces changements de statuts s’accompagnent d’un changement de dénomination par « syndicat du bassin versant de la Reyssouze » (SBVR).
En 2014, le 2ème contrat de rivières est élaboré pour la période 2014 à 2018.
Fin 1991, le conseil du District rural de Montrevel-en-Bresse décide de cesser la gestion des services et équipements qu’il assurait pour le compte des communes, dont le regroupement pédagogique et la maîtrise des ouvrages des travaux d’assainissement de Jayat, Malafretaz et Montrevel-en-Bresse. Par arrêté préfectoral du 11 décembre 1991, le Sivu est transformé en syndicat intercommunal à vocation multiple (Sivom) d’agglomération à compter du 1er janvier 1992.
En juillet 1989, le SIVOM du centre de la Dombes est transformé en partie en syndicat à caractère optionnel (syndicat à la carte), une des vocations gardant cependant un caractère obligatoire : participation aux frais de fonctionnement et d’investissement des collèges de Villars-les-Dombes et de Saint-André-de-Corcy.
Le Syndicat intercommunal à vocation multiple Val de Mâtre a été créé pour contribuer à la mise en place d’un certain nombre d’actions communes entre Chaleins et Messimy-sur-Saône (Ain, France).
En application de la loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales, le Sivom du val de Mâtre est dissout au 1er janvier 2013. Cette procédure s'effectue parallèlement à la procédure d'adhésion des deux communes à la Communauté de communes Montmerle 3 Rivières au 1er janvier 2013 qui récupère une grande partie des compétences du Sivom, à savoir : le SCOT, le CDRA et l'assainissement non collectif
En 1976, d’une part les municipalités et enseignants de Le Plantay et de Versailleux et d’autre part, les communes de Châtenay et de Saint-Nizier-le-Désert font part aux parents d’élèves de la nécessité de créer deux regroupements pédagogiques. Excepté les parents de Versailleux qui émettent un avis négatif, les trois autres communes sont partagées. Un second projet sur la création d’un seul regroupement voit le jour en 1977, sans nouvelle consultation des parents d’élèves. Ces derniers décident alors de se constituer en association de défense en février 1978 pour défendre leurs intérêts. Toutefois, les élus locaux poursuivent la mise en place de ce regroupement.
Afin de simplifier le « paysage intercommunal » suite à la mise en place du plan départemental de coopération intercommunale par la Préfecture, le conseil communautaire décide sa dissolution au 31 décembre 2007 (délibération du 13 septembre 2007). L’arrêté préfectoral du 26 novembre 2007 confirme cette décision.
Pour permettre une scolarisation de meilleures conditions, les trois communes décident de créer un regroupement pédagogique entre les écoles mixtes publiques à compter de l’année scolaire 1975-1976. Pour gérer l’organisation scolaire, un syndicat à vocation unique est constitué ; il prend également en charge le mobilier, les frais de fonctionnement et le transport scolaire. Quant’ au service de restauration, il est administré par un comité de gestion organisé selon la loi du 1er juillet 1901. Un protocole d’accord est signé en novembre 1976. En 1990, le SIVOS change de dénomination et prend le nom de SIVOSS de Montcet - Montracol – Vandeins.