Sibuet, Césarine (citée en 1846-1847)
- FR28011201200016_NA_000000159
- Personne
- 19
Sibuet, Césarine (citée en 1846-1847)
Sibuet, Ferdinand (cité en 1878)
Sibuet, François (cité en 1796)
Sibuet, Jean-Marie (cité en 1884-1891)
Chaley (Ain, France)
Sibuet, Lucine née Hugon (citée en 1913-1914)
Sibuet, Romain (marchand ; cité en 1785)
Silligorat, Anthelme (cité en 1764)
Simon, Jean-Marc (cité en 1837)
Ski-club du Petit-Abergement (Ain)
Smith, Marguerite (citée en 1866)
Société anonyme des carrières de Villebois (Ain)
Société anonyme des eaux et électricité du nord-est de Lyon (Miribel, Ain)
La société disparait à la Libération avec la nationalisation de la distribution de l’énergie électrique et la création d’EDF qui assure l’exploitation du service des eaux jusqu’à la création du syndicat d’eau en 1952. La liquidation est prononcée lors de l’assemblée générale du 20 novembre 1948.
Société coopérative agricole (Belley, Ain)
Société d’agriculture, sciences et arts de l’arrondissement de Trévoux (Trévoux, Ain)
Société d’aménagement foncier et d’établissement rural (Rhône-Alpes)
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, la France se reconstruit, réorganise et modernise son agriculture. De nombreuses terres agricoles se libèrent sous l’effet de cette politique de modernisation agricole. C’est dans ce contexte que sont créées les Safer, sous l’impulsion des jeunes syndicalistes agricoles du Centre national des jeunes agriculteurs (CNJA). La loi d’orientation agricole du 5 août 1960 fixe pour objectifs de réorganiser les exploitations agricoles, dans le cadre de la mise en place d’une agriculture plus productive, et d’installer de jeunes agriculteurs. En 1962, l’adoption de la loi complémentaire permet aux Safer de se doter d’un droit de préemption. Par la suite, la mission des Safer s’est élargie avec l’extension de l’urbanisation, l’utilisation des terres agricoles à d’autres fins et la naissance de la notion de développement durable. Les Safer développent toujours l’agriculture, mais elles protègent également l’environnement, les paysages et les ressources naturelles.
Société d’assurance mutuelle contre l’incendie entre les habitants de Grièges (Grièges, Ain)
Société d’économie montagnarde de l’Ain (Bellegarde-sur-Valserine, Ain)
Société d’intérêts collectifs agricoles du Col de la Lèbe (Sutrieu, Ain)
Société d'assurance mutuelle contre l'incendie de Saint-Étienne-sur-Chalaronne (Ain)
Société d'assurances mutuelles contre l'incendie de Chavannes-sur-Reyssouze (Ain)
Société de fromagerie de Saint-Maurice (Sutrieu, Ain)
Société de secours mutuel L’avenir de Priay (Ain)
Les premières sociétés de secours mutuel, ancêtres de nos mutuelles, sont apparues au XVIIIe siècle. La Révolution de 1789, entraînant la fin de la liberté d’association avec la loi Le Chapelier du 14 juin 1791, signe la fin de ces sociétés. Elles renaissent avec l’Empire. Elles seront légalisées par le décret du 22 mars 1852, qui octroie de nombreux avantages aux sociétés qui reçoivent l’approbation de l’État et acceptent son contrôle. C’est finalement la loi du 1er avril 1898 qui permet l’essor de la mutualité en réduisant le contrôle étatique et en favorisant leur développement.
Société de secours mutuels (Conand, Ain)
Société de secours mutuels des deux Seyssel (Seyssel, Ain)
Société de secours mutuels des préposés des eaux et forêts (Ain)
Société de secours mutuels La Familiale (Confrançon, Ain)
Société de secours mutuels (Lent, Ain)
Société de secours mutuels Union et Charité du Plantay (Ain)
En septembre 2000, en raison de son inactivité et de l'affiliation de ses adhérents à la Mutualité de l'Ain, la Mutuelle de Le Plantay fusionne avec celle de la Dombes située à Chalamont (Ain, France).
Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (France)
Société du poids public du Logis-Neuf (Confrançon, Ain)
Société fromagère de Sutrieu (Sutrieu, Ain)
Société La Boule chaleysienne (Chaley, Ain)
Société La Gaule chaleysienne (Chaley, Ain)
Société musicale L’Écho des carrières de Montalieu (Isère)
Société musicale L’Écho du Sault du Rhône (Sault-Brénaz, Ain)
Société musicale L’Indépendante de Villebois (Ain)
Société scolaire de secours mutuel et de retraite (Priay, Ain)
Les premières sociétés de secours mutuel, ancêtres de nos mutuelles, sont apparues au XVIIIe siècle. La Révolution de 1789, entraînant la fin de la liberté d’association avec la loi Le Chapelier du 14 juin 1791, signe la fin de ces sociétés. Elles renaissent avec l’Empire. Elles seront légalisées par le décret du 22 mars 1852, qui octroie de nombreux avantages aux sociétés qui reçoivent l’approbation de l’État et acceptent son contrôle. C’est finalement la loi du 1er avril 1898 qui permet l’essor de la mutualité en réduisant le contrôle étatique et en favorisant leur développement.
Société scolaire de secours mutuels (Confrançon, Ain)
Société scolaire fruitière de Vandeins (Ain)
Société Tissmétal (Guignicourt, Aisne)
Soeurs de l'Enfant-Jésus (Illiat, Ain)
Congrégation religieuse féminine enseignante de droit pontifical fondée par Anne-Marie Martel en 1667.
En 1665, l'abbé Tronson, sulpicien directeur du séminaire du Puy-en-Velay voyant l'ignorance religieuse de ses paroissiens, demande à Anne-Marie Martel de s'occuper de les instruire. Bientôt des compagnes se joignent à elles et forment une communauté religieuse sans vœux connue sous le nom de demoiselles de l'instruction. Ces dernières forment ensuite des filles appelées béates pour aller seules dans les villages les plus isolés. Mgr de Béthune, évêque du Puy-en-Velay, reconnaît officiellement la communauté le 21 mai 1676. En 1708, les demoiselles et filles de l’Instruction fusionnent avec une petite confrérie de sœurs de l’Enfant-Jésus qui met à leur disposition une grande maison au Puy ; elles prennent alors le nom de demoiselles de l’instruction de l’Enfant-Jésus. À la révolution française, leurs biens sont confisqués avec interdiction de participer à des réunions religieuses sous peine de mort. Après la tourmente, Mademoiselle de Senicrose restaure la congrégation et ouvre une école pour les enfants pauvres du Puy.
Les sœurs ouvrent une maison en Argentine en 1888 puis au Canada en 1896. En 1905, lors de la séparation de l’Église et de l’État, les sœurs n’ont plus le droit d’enseigner ni de tenir des écoles et leurs biens sont confisqués. Elles doivent prendre l’état laïque ou partir à l’étranger, en particulier en Belgique.